44 jours d’abstinence – Dimanche 9 juillet 2017

J’attendais notre rencontre avec impatience, j’espĂ©rais surtout ĂȘtre libĂ©rĂ©e de mes 44 jours d’abstinence. Cela avait Ă©tĂ© difficile Ă  gĂ©rer, pas encagĂ©e autant de temps depuis bien longtemps… Quelques heures avant notre rencontre, ma reine excite mon clito, en me dĂ©voilant quelques unes de ses perversitĂ©s qu’elle aimerait m’administrer. Cela s’annonçait rudement bien, j’en mouillais ma cage. J’Ă©tais dĂ©tendue, je me prĂ©parais afin d’ĂȘtre le mieux apprĂȘtĂ© pour ma reine. Elle aimait me voire sexy, voire plus…

Quelques petites averses ce matin, j’enfilais mon blouson de cuir rouge, et comme tenue, une jupe en voile, des bas noirs et des bottines. Je regarde ma montre, il est l’heure d’y aller, je ne voudrais pas faire attendre ma reine. Pas d’angoisse pour me garer loin de chez elle, je suis rodĂ©e de sortir ainsi, mais le gros sac de course est assez lourd. Je retrouve ma reine, tellement contente de la voir. AprĂšs avoir bien discutĂ© et fait son mĂ©nage, nous commençons Ă  jouer enfin un peu ! ExcitĂ©e comme jamais, je m’attends Ă  la totale ce jour lĂ . Elle me demande de m’asseoir sur sol et elle m’attache les poignets Ă  chaque genou bien fortement, je dois ensuite me basculer sur le dos. Ainsi, elle commence par me faire couler de la cire chaude sur les testicules. Je ferme les yeux, je me concentre, ça me brĂ»le mais je me sens tellement bien entre ses mains, j’aime qu’elle soit perverse et sadique avec moi. Je monte en pression, elle relĂąche puis elle augmente le rythme que je suis avec excitation. Je me sens bien, j’ai tout de mĂȘme hĂąte qu’elle arrĂȘte la cire, car elle m’en fait couler juste vers mon trou, c’est super sensible. Ouf, elle souffle la bougie pour l’Ă©teindre. Que va t-elle me faire maintenant… Je ferme de nouveau les yeux, elle me malaxe les couilles pour m’enlever la cire, j’adore, puis je commence Ă  sentir des picotements. Ma reine joue avec une aiguille ! Je la sens me piquer un peu partout. Je m’imagine qu’elle m’enfile les aiguilles, non, elle me pique uniquement pour me faire saigner. Je souffre pas mal, ma reine n’y va pas de main morte. Elle me pique mĂȘme le bout du sexe trĂšs sensible, si peu sollicitĂ© qu’il est, je crie de douleur. Le bĂąillon m’aide Ă  ne pas trop me plaindre. Elle continue un bon bout de temps. Ma reine est trĂšs patiente dans ce genre de jeu, elle arrive bien Ă  se concentrer. Mes couilles sont bien tendues par l’excitation, ma reine a les gants en sang, elle me semble assez fiĂšre d’elle. Toute surprise d’ĂȘtre Ă©galement toute en sang, je me surprend Ă  avoir supportĂ© ce genre de choses. Qu’est-ce que je ferais pas pour ma reine. Quelques photos, ensuite je m’assois, elle me dĂ©tache, les fourmis aux poignets me gĂȘnaient depuis un petit moment dĂ©jĂ  mais rien d’alarmant. Je vais ensuite Ă  la douche me laver. Le fond de la douche est rouge sang, cela coule pas mal. Un peu d’eau glacĂ©e me fait du bien, cela ne saigne plus. Je retourne voir ma reine qui m’ordonne de me mettre Ă  quatre pattes, la tĂȘte baissĂ©e et les bras dans le dos. Elle m’attache les poignets avec une petite corde qu’elle sert trĂšs fort, j’aime beaucoup ! Elle me remet le bĂąillon, et accroche des poids Ă  mes anneaux de tĂ©tons. Ils ne sont pas trĂšs lourds mais c’est suffisant car c’est vraiment le bout du tĂ©ton qui est Ă©tirĂ©. Les poids vont se balancer tout au long du reste de la sĂ©ance et m’auront bien fait souffrir, de plaisir bien entendu ! VoilĂ  que ma reine s’Ă©quipe de son gode ceinture. Je le vois entre mes jambes, elle va me prendre. Elle me crache dans mon trou, et sans mĂ©nagement ni gel, elle me prend violemment. J’ai soudainement peur qu’elle me fasse mal, mais son gode rentre bien et en deux ou trois coups de rein, elle arrive Ă  me le foutre en entier. Ma reine sort le gode puis le rentre de nouveau, lentement puis plus rapidement, elle me dĂ©fonce mon trou. Je me retiens car, je sens qu’il ne rentre pas tout au fond. Mais ma reine le sens aussi et elle va plus profond, il est maintenant bien en place et avec force et dĂ©termination, elle me dĂ©glingue carrĂ©ment. Je l’aide en l’accompagnant dans ses allers et venues, c’est super bon, je gĂ©mis dans mon bĂąillon. Elle pose son pied sur mes mains attachĂ©es sur mon dos et elle me prend de nouveau assez h-ardemment. Je souffre un peu car c’est sans retenue que ma reine me viole, je perds soudainement l’Ă©quilibre. Qu’Ă  cela ne tienne, couchĂ©e sur le cĂŽtĂ©, elle me tient une jambe en l’air et elle continue de me baiser alors que je suis au sol. Puis dans la foulĂ©e, elle m’ordonne de me lever, et elle me prend debout, pliĂ©e en deux contre le plan de travail de la cuisine. C’est trĂšs violent car ma reine a beaucoup plus de force ainsi debout et je suis mieux positionnĂ©e pour que son gode vienne au plus profond de moi. J’ai l’impression de jouir mille fois. Ma reine m’a Ă©puisĂ©, je dois me remettre au sol et, dĂ©tachĂ©e, je dois me toucher pendant qu’elle me tire les couilles en arriĂšre. Le sexe bien tendu, je ne mets pas longtemps Ă  jouir. Non pas de plaisir, car Ă  peine que ma semence commence Ă  gicler au sol, j’arrĂȘte de me toucher. Je dĂ©sire seulement ĂȘtre vidĂ©e. J’espĂšre continuer sur cette voie et ne prendre plaisir et jouir uniquement lorsque ma reine me prendra. Je file Ă  la douche, ma reine vient me remettre rapidement ma cage et me revoici encagĂ©e pour une durĂ©e indĂ©terminĂ©e. Un peu de rangement, ma reine est pressĂ©e, je me rhabille rapidement lui baise les pieds et je dois filer. Merci ma reine pour cet excellent moment, j’en suis sortie toute retournĂ©e !

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